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18 juin 2014 3 18 /06 /juin /2014 07:31

De plus en plus de Français recourent à l’aide alimentaire proposée par les associations comme les Restos du cœur, le Secours populaire ou la Banque alimentaire. Les femmes représentent une part importante des bénéficiaires. obèses et présentent une santé bucco-dentaire altérée. C’est le constat dressé par les rédacteurs de la dernière livraison du Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH).

« Notre étude confirme que les femmes ayant recours à l’aide alimentaire sont exposées à un risque particulièrement élevé de surpoids et d’obésité », indiquent les auteurs de l’InVS, de l’INPES et de l’Observatoire régional de santé Île-de-France. Après avoir étudié les données de 668 femmes, ils ont découvert un Indice de Masse corporelle (IMC) moyen de 28,8. Pour être en bonne santé, l’IMC doit normalement se situer entre 18,5 et 24,9. Chez ces femmes dans une situation de précarité, « les prévalences de surpoids et d’obésité s’élevaient respectivement à 36,4% et 35,5%. »

Parmi les bénéficiaires de l’aide alimentaire, certaines présentent des risques encore plus élevés. Il s’agit des femmes plus âgées, de celles ayant un ou plusieurs enfants à charge. C’est pourquoi « la prévention, le dépistage et la prise en charge doivent être renforcés, en adaptant les interventions à la situation individuelle des bénéficiaires », soulignent les rédacteurs. « Avec une attention particulière à certains moments clés de l’existence, comme l’avancée en âge ou les grossesses. »

Des dents en mauvaise santé

Les femmes bénéficiant de l’aide alimentaire présentent aussi une santé buccodentaire particulièrement mauvaise. Le même groupe a été interrogé sur l’état de sa dentition. Résultat, 18,3% déclaraient entre 5 et 14 dents absentes non remplacées ! Cette absence d’un nombre significatif de dents est associée à des probabilités plus élevées d’obésité. D’ailleurs, plus les femmes étaient en surpoids, plus le nombre de dents absentes était élevé.

« Ces associations entre corpulence et état de santé bucco-dentaire soulignent l’importance d’une approche de prévention globale et d’une amélioration de l’accès aux soins pour les personnes en situation de précarité », concluent-ils.

 

 

Il y a une logique  mais c'est un comble ! Il faudrait distribuer des recettes équilibrées avec les colis.

Docteur Bib

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4 juin 2014 3 04 /06 /juin /2014 11:39

Plus tôt les enfants goutent de nouveaux aliments, plus ils sont susceptibles de les apprécier par la suite. Des chercheurs britanniques de l'université de Leeds, ont montré que les enfants apprennent plus facilement à apprécier les légumes lorsqu'ils ont moins de deux ans.

Comment faire manger des légumes aux enfants ?

Pour que votre enfant prenne goût aux légumes, donnez-lui en à manger avant ses 2 ans ! Voilà les conclusions de chercheurs de l'université de Leeds publiées le 30 mai 2014. Selon eux, 24 mois serait un âge charnière. Après, les enfants commencent à devenir difficiles et à rejeter certains aliments, alors qu'avant ils sont plutôt aventureux et disposés à de nouvelles découvertes.

Pour arriver à ces conclusions, les scientifiques ont servi de la purée d'artichauts à 332 enfants anglais, français et danois âgés de 4 à 38 mois. Durant l'expérimentation, chaque enfant s'est vu proposer de la purée d'artichaut à plusieurs reprises, entre les mois de janvier et mai 2011. La quantité de purée prise par ces enfants a été mesurée avant et après l'expérimentation.

Résultat : à l'issue de l'étude, les enfants ont été répartis en quatre catégories de mangeurs :

- la plupart d'entre eux (40 %) ont augmenté leur consommation en purée au cours de l'expérimentation. Ils ont ainsi été qualifiés « d'apprenants ».

- 21 % finissaient les trois quarts de la portion et ont ainsi été qualifiés de « nettoyeurs d'assiette ».

- 16 % se distinguaient par une réaction de rejet, mangeant moins de 10 g de leur portion, même après des propositions répétées. Ils ont reçu le nom de « non-mangeurs de légumes ».

- Enfin la dernière catégorie rassemble les autres enfants (23 %) qui ne rentraient pas dans les trois premières. La plupart d'entre eux mangeaient déjà facilement leurs légumes avant l'expérimentation, leur consommation de purée a donc peu augmenté au cours de l'étude.

L'âge, facteur déterminant

L'âge était le facteur déterminant dans la consommation de purée d'artichauts, selon les auteurs. Ainsi, les enfants appartenant à la catégorie des « apprenants », qui ont augmenté leur consommation, avaient environ 6 mois de moins que les enfants qualifiés de « non-mangeurs de légumes ».

De la même manière, les enfants qui finissaient leur assiette sont majoritairement plus jeunes. Inversement, les enfants les plus « âgés » sont les plus susceptibles d'être difficiles et rangés dans la catégorie des « non-mangeurs de légumes ».

Les chercheurs ont également montré que masquer le goût des légumes pour les rendre plus appétissants n'a qu'un effet modeste. Les enfants n'ont que très peu augmenté leur consommation de purée après que les scientifiques aient ajouté de sucre ou de l'huile de tournesol à leur portion de purée.

Alors qu'il est souvent admis que les enfants apprécient de nouveaux aliment, la stratégie la plus efficace est de répéter les propositions, les chercheurs ont montré que présenter ces aliments avant l'âge de deux ans a plus d'effets. Il semblerait qu'avant cet âge, les goûts soient plus facilement acceptés. Après, les enfants deviennent de plus en plus pointilleux en matière d'alimentation.  

Source : Learning to Eat Vegetables in Early Life: The Role of Timing, Age and Individual Eating Traits. Marion M. Hetherington et al. May 30, 2014. Doi:10.1371/journal.pone.0097609

 

Extrait du site ALLO DOCTEUR

 

Mes jumeaux ont un quart d'heure d'écart et ils ont été élevés de la même façon.

Victor mange et boit (!) de tout.

Arthur déteste les fruits et les légumes et il ne boit que de l'eau plate (là c'est un avantage)

Arthur est paresseux. Victor est un battant.

Il faut peut être du courage et de la curiosité pour aller à la découverte de nouveaux goûts, de nouvelles sensations.

C'est peut être une explication.

Docteur Bib, l'heureuse maman de vrais faux jumeaux.

 

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24 février 2014 1 24 /02 /février /2014 09:51

A l’occasion du Congrès annuel de l’American Association for the Advancement of Science (AAAS), à Chicago, les chercheurs de la Northwestern University ont présenté les résultats de leur dernière recherche, expliquant les bienfaits qu’octroie une alimentation saine chez la femme sur... ses futurs petits-enfants.

Une nourriture saine, pour des petits-enfants en bonne santé... Voilà la théorie avancée par les chercheurs de la Northwestern University, dont l'étude a été présentée lors du Congrès annuel de l’American Association for the Advancement of Science (AAAS), organisé à Chicago. Les chercheurs révèlent en effet qu’un régime alimentaire sain chez la femme serait bénéfique jusqu’à deux générations plus tard, lit-on dans nicematin.com. Pour réaliser leur étude, les chercheurs ont suivi un panel de 3 000 femmes philippines depuis 1983, et ce, sur trois générations. De cette façon, ils ont pu constater les effets de l’alimentation des femmes sur leurs enfants mais aussi sur leurs petits-enfants.

 « Une question d’alimentation avant de tomber enceinte »
Selon les chercheurs, la consommation d’aliments nutritifs chez la femme enceinte serait bénéfique chez les enfants ainsi que chez les petits-enfants. Mais pas seulement. D’après leurs constatations, le suivi d’un régime sain, même avant la grossesse, serait porteur des mêmes bienfaits. « En général, les mesures de nutrition obtenues lorsque la mère est petite, voire elle-même in utero, sont des indicateurs plus fiables du poids de son bébé que lorsqu'on regarde son alimentation à l'âge adulte (…) De nombreuses preuves convergentes suggèrent que la quantité de calories consommées pendant sa grossesse n'a pas d'effets notables sur le bébé. C'est surtout une question d’alimentation avant de tomber enceinte et la nutrition lors des premiers jours de développement », déclarait le professeur Kuzawa lors du Congrès. « De nombreuses preuves montrent que la malnutrition prénatale peut altérer la biologie de façon permanente de manière à perdurer jusqu'à l'âge adulte et accroître le risque de maladie (…) Un poids de naissance plus important est associé à un risque moindre de maladies à l'âge adulte, mais jusqu'à un certain point. Lorsque le poids de naissance est vraiment très élevé, le risque de maladie à l'âge adulte augmente »ajoutait-il.

 

 Extrait du site Magicmaman.com

 

Mouais si on veut simplifier on peut dire qu'avoir un bon équilibre alimentaire que l'on inculque à ses enfants et en particulier à ses filles, c'est bon pour la progéniture à venir !

Docteur Bib

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24 juillet 2013 3 24 /07 /juillet /2013 08:14
  
Alors que certaines grandes enseignes annoncent le nombre de calories sur l’emballage des hamburgers ou des frites. Une étude montre que cette mesure est inutile, tout du moins, aux USA. 

Depuis 2012 Mac Donald’s s’est mis à afficher la couleur ! Les emballages des produits vendus par ce géant du Fast-food précisent clairement le nombre de calorie contenu dans tel ou tel hamburger et même sur telle portion de frites. Pourtant d’après une étude américaine puhliée dans l'American Journal Of Public Health, cette mesure ne servirait pas à grand chose… Tout du moins, les calories mentionnées clairement sur les boîtes n’encourageraient pas les clients à s’intéresser à la valeur nutritionnelle des aliments consommés. Cette enquête met également en évidence que pour choisir leur menu les critères principaux des consommateurs sont le prix et le goût.

 

Pour en arriver à ces conclusions les auteurs de ce travail ont observé le comportement alimentaire de 1121 adultes dans deux « Mac Do » new yorkais. Résultat, ces clients de Fast-food absorberaient même, en un seul repas, plus de calories que la quantité journalière conseillée par les spécialistes : entre 1800 et 2200 pour les femmes et entre 2200 et 2700 pour les hommes de poids et de taille moyen. « Préciser les calories sur les menus a peu ou pas d'effet sur le comportement des consommateurs lors de la commande", affirme Julie Downs, principal auteur de cette étude et chercheuse à l'Université de Pennsylvanie en Amérique. Rappelons que cette enquête a été réalisée aux Etats Unis, difficile donc de savoir si les consommateurs français ont le même comportement face aux calories mentionnées sur les emballages. Les McDonald's français indiquent eux aussi les calories sur les conditionnement des produits et ainsi sur le site Internet de leurs restaurants. 

 

L'affichage des calories permet à Mac Do de se donner bonne conscience....!

Docteur Bib 

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19 juin 2013 3 19 /06 /juin /2013 06:43

Extrait de Direct Matin.fr

 

«Une petite claque pour vous. Une grosse claque pour lui», tel est le slogan de la nouvelle campagne de prévention de la Fondation pour l’enfance.

Diffusée à partir de samedi à la télévision et sur Internet, elle vise à dénoncer les «violences éducatives ordinaires», soit les gifles, fessées ou tapes infligées par les parents à leurs enfants pour les recadrer.

Le message, porté par une vidéo d’une trentaine de secondes, met en scène une mère au téléphone giflant son fils parce qu’il fait trop de bruit. Une scène presque anodine si elle n’était pas ensuite repassée au ralenti, montrant alors la violence du geste pour l’enfant. 

«Nous voulons montrer aux parents qu’il y a violence et traumatisme, que tout geste de violence physique envers un enfant peut avoir des conséquences sur sa santé physique et psychologique», explique le docteur Gilles Lazimi, coordinateur de la campagne.

Selon la fondation, plus de la moitié des parents français commenceraient à frapper leur enfant avant l’âge de deux ans, en croyant que cela est utile pour lui.

 

Un des rôle primordial des parents est d'éduquer son enfant. Une bonne éducation apprend à l'enfant que c'est mal de se bagarrer, d'être violent avec autrui. Et commun un parent peut-il être crédible s'il est lui même violent en frappant son enfant ? L'exemple vient de haut, des parents....

Par ailleurs, une claque automatique et systématique aura beaucoup moins de poids qu'une bonne explication de texte au calme, en tête à tête.

Docteur Bib à qui ce sujet tient à coeur

 

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9 mai 2012 3 09 /05 /mai /2012 07:44

 

Par Europe1.fr avec AFP

 

Publié le 8 mai 2012 à 16h17Mis à jour le 8 mai 2012 à 17h50

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Près de 800 recommandations ont été publiées mardi contre cette maladie.

Les États-Unis partent en guerre contre l'obésité. L'Institut de Médecine américain pour lutter contre l'obésité a publié mardi quelque 800 recommandations pour mettre à mal ce fléau qui touche un adulte sur trois et près d'un enfant sur cinq outre-Atlantique.

Les "progrès réalisés pour endiguer l'épidémie d'obésité ont été trop lents" et les coûts de santé qui lui sont liés s'établissaient à 190 milliards de dollars par an entre 2000 et 2005 (soit 20,6% du coût total de la santé), estime un rapport de près de 500 pages publié à l'occasion de la conférence "Le poids d'une nation" à Washington.

Une "panoplie" de solutions

Pour lutter contre cette pandémie, les experts proposent de recommandations articulées autour de cinq pôles : l'activité physique, l'accès à une nourriture plus saine, le marketing, l'éducation et le rôle des employeurs et des professionnels de santé. Car "résoudre cette question complexe et tenace demande toute une panoplie de solutions à mettre en oeuvre ensemble pour parvenir à un changement sociétal", estiment les spécialistes.

Au menu de leurs recommandations : une heure d'activité physique par jour à l'école, des "stratégies" pour réduire la consommation de boissons sucrées, leur interdiction dans les écoles ou l'accès facile à de l'eau dans l'espace public. Les experts évoquent également la mise en place de taxes sur les sodas, des portions moins caloriques pour les enfants dans les fast-foods, des crédits d'impôts pour les collectivités pour encourager l'ouverture de magasins vendant des produits sains, et plus de fruits et légumes dans les cantines.

42% d'obèses d'ici 2030

Selon une étude publiée lundi, plus de 42% des Américains pourraient être obèses d'ici 2030. Des chiffres d'autant plus alarmants que l'obésité s'accompagne d'un risque accru de maladies cardiovasculaires, hypertension etc. Ainsi, un tiers des enfants nés aujourd'hui et la moitié des Hispaniques et des Noirs développeront un diabète de type II. Enfin, selon des projections, la génération à venir pourrait avoir une espérance de vie inférieure à celle de ses parents.

 

Docteur Bib qui a hâte de lire les 800 recommandations (c' est bien à l'américaine : 800 recommandations d'un coup !)


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19 mars 2012 1 19 /03 /mars /2012 13:41

Une étude britannique a démontré que les enfants qui avaient été nourris à la demande quand ils étaient bébés avaient de meilleurs résultats aux tests de QI que ceux nourris à heure fixe.

 

Le 18 mars dernier, des chercheurs de l'Institute for Social and Economic Research (ISER), des universités d'Essex et d'Oxford (Royaume-Uni) ont publié les résultats d'une étude pour le moins surprenante. Le but de celle-ci était de déterminer quelle était la meilleure façon de nourrir les bébés, quelle que soit la méthode d'allaitement (au sein ou au biberon), c'est-à-dire à heure fixe ou lorsqu'ils ont faim.



10 419 enfants
 ont passé les tests SAT (examens utilisés aux Etats-Unis pour évaluer les élèves en mathématiques, lecture et écriture à leur entrée au collège ou à l'université). Ceux qui avaient été nourris quand ils avaient faim ont alors obtenu de meilleurs résultats que les autres, à 5, 7, 11 et 14 ans. De plus, à l'âge de 8 ans, leur QI était supérieur de 5 points par rapport aux autres. Un score appréciable, selon les scientifiques.



Sur le site de l'ISER, le Dr Iacovou, auteur de l'étude, déclare : « cette recherche se fonde sur des données à grande échelle et il y a peu de chances que les résultats soient dus au hasard.

par famili



Pour en savoir plus : Les bébés nourris quand ils ont faim ont un meilleur QI - Famili.fr 

 

Docteur Bib qui pense que décidemment la nourriture tient une grande place dans la vie d'un homme...L' étude comporte effectivement beaucoup de patients, ce qui la rend plus crédible.

 

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5 septembre 2011 1 05 /09 /septembre /2011 08:02
Un jeu vidéo en ligne s'attaque à l'obésité des ados
RelaxNews le dimanche 4 septembre 2011 à 15:21:00
Un jeu vidéo en ligne s'attaque à l'obésité des ados


- Un nouveau jeu vidéo, qui a pour objectif de lutter contre l'obésité, mise sur l'attrait des récompenses virtuelles pour faire bouger les ados. Intitulé Zamzee, le jeu est vendu avec un capteur à placer sur la hanche de l'utilisateur pour suivre ses mouvements. Pour récompenser l'activité physique, le jeu attribue des points que l'ado doit charger sur le portail internet de Zamzee, afin d'accéder à des biens virtuels dans la boutique en ligne et partager ses données avec les amis de son réseau social.

L'association à but non lucratif qui a développé le jeu, HopeLab, compte le lancer à l'automne. Un porte-parole de l'association a précisé à Relaxnews que l'inscription serait gratuite mais que le capteur d'activité devrait coûter autour de $50. 

 


Hopelab a également créé un jeu vidéo pour les jeunes atteints de cancer, intitulé Re-Mission, qui oppose un "nanobot" nommé Roxxi à des cellules cancéreuses. Une étude portant sur ce jeu et publiée dans la revuePediatrics montre que les patients qui jouaient à Re-Mission avaient plus de chances de suivre leurs traitements médicaux à la lettre. Avant de lancer Zamzee, Hopelab a testé le produit auprès de 350 ados qui l'ont utilisé pendant environ 10.000 jours cumulés et leur activité physique aurait augmenté de 30%. 
"Même si l'idée d'un système de récompense n'est pas vraiment nouvelle pour ce type d'appareils, c'est le fait qu'il s'adresse aux enfants qui le rend plutôt intéressant",  commente le site spécialisé Medgadget. "C'est un projet fascinant et nous suivrons son développement de près". 

 
Pour les adultes et les ados plus âgés qui ont besoin d'un petit coup de pouce pour faire du sport, il existe une foule de gadgets fitness proposant un suivi des activités sur le marché. Parmi eux, Nexercise, une nouvelle appli, repose sur un système de récompenses comparable à celui de Zamzee, mais pour les adultes, avec à la clé des petits cadeaux réels comme des chèques cadeau, des bons de réductions ou des compléments alimentaires.

 

 

 Extrait du site Santemedecine.net

 

Docteur Bib qui trouve intéressant qui, pour une fois, voit d'un bon oeil les jeux vidéo.

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27 août 2011 6 27 /08 /août /2011 08:24

SURPOIDS : DES CURES MINCEURS POUR LES PLUS JEUNES

Surpoids des cures minceurs pour les plus jeunes

Les problèmes de poids touchent aussi les enfants et parfois dès leur plus jeune âge.

Selon une étude publiée l’année dernière par la Drees (Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques) et menée auprès de 23 000 élèves de grande section de maternelle, 12,1 % des petits Français seraient en surcharge pondérale et parmi eux, 3,1 % seraient obèses. Face à ce phénomène, des centres d’amaigrissement proposent des cures aux plus jeunes pour retrouver un poids adapté et donc une meilleure santé. Les thermes de Brides-les-Bains, par exemple, accueillent des enfants dès huit ans pour des cures de trois semaines.

De plus en plus d’enfants obèses

Dans les colonnes du Parisien, le directeur des thermes Gérard Magat explique qu’ « il y a de plus en plus d’enfants curistes car il y a de plus en plus d’enfants obèses en France ». En 2009, l’établissement avait accueilli 161 enfants de moins de 18 ans, rapporte le quotidien, contre 236 en 2010. Pour les parents de ces préados et adolescents qui sont en surpoids et tendent vers l’obésité à coup sûr, il est impératif « d’enrayer la prise de poids avant que ce ne soit trop dur ». Pour Nathalie Negro, responsable de la diététique à Brides-les-Bains, et interrogée par Le Parisien, « il n’est pas question de faire maigrir les enfants, mais de les aider à arrêter de prendre du poids […] Les faire entrer dans une spirale de restriction alimentaire les entraînerait vers des régimes yo-yo ».

L’alimentation équilibrée des enfants est une question importante. Et il faut les éduquer dès leur plus jeune âge à savoir bien manger. C’est pourquoi l’INRA (Institut national de la recherche agronomique) a également mené une enquête pour apporter un éclairage nouveau sur les aliments qui font le quotidien des enfants.

Laurence Riatto

Le 24/08/2011
 
 Extrait du site de ELLE
Docteur Bib qui estime que ces cures sont bénéfiques mais qu'elles ne sont que le point de départ d'une nouvelle vie alimentaire.
 Elles doivent être être l'occasion d'une éducation des parents d'abord et de l'enfant ensuite. Une fois rentré à la maison, il faut continuer sur ces bonnes bases, et ne pas replonger dans les mauvaises habitudes passées. Il doit y avoir un suive derrière, sinon l'enfant regrossit et le résultat de l'opération est nul.
La cure doit procurer à l'enfant le plaisir de maigrir et donc de vouloir continuer à le faire. c'est un gros travail....
 
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5 août 2011 5 05 /08 /août /2011 17:39

Famili.fr rapporte les résultats d'une récente étude britannique qui s'inquiète d'une consommation trop élevée de sel chez les tous petits. La cause : les plats industriels, le lait de vache et le pain.

L'équipe de chercheurs de Bristol a étudié les habitudes alimentaires de 1200 bébés âgés de 8 mois.

Résultats : 70 % des petits dépassaient, voire atteignaient le double de la consommation de sel acceptable pour la santé.

Trop de sel est dangereux pour l'adulte, et tout autant sinon plus pour l'enfant, chez qui se développe trop tôt le goût des aliments salés, entraînant plus tard un problème pour les reins, une hypertension artérielle si le circuit artériel est fragile, des problèmes de rétention d'eau, etc.....

 

Docteur Bib qui encourage la prévention intelligente : donnons d'emblée leur chance aux bébés en leur évitant les mauvaises habitudes qu'ils soient anglais ou français !

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