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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 16:38

AFP) - Adhérer à un club de marche serait l'une des méthodes les plus simples pour améliorer sa santé et son moral, selon une étude publiée mardi dans la revue médicale British Journal of Sports Medicine.

Pour arriver à ce résultat, des chercheurs de l'université britannique d'Est Anglia ont analysé les résultats de 42 études déjà publiées sur des membres de clubs de marche.

Près des 3/4 des quelque 2.000 personnes passées en revue dans 14 pays, en majorité des femmes, participaient régulièrement aux activités de leur club, d'une intensité et d'une périodicité très variables, mais d'une durée ne dépassant généralement pas une heure en une seule fois.

En étudiant les marcheurs, les chercheurs ont montré que ceux-ci présentaient "des améliorations statistiquement significatives" de leur bien-être par comparaison à l'époque où ils étaient sédentaires.

Parmi ces améliorations, ils citent une meilleure forme physique, moins de dépression, une baisse de leur pression artérielle, du pouls au repos et du taux de cholestérol ainsi qu'une augmentation de la capacité pulmonaire.

L'effet était en revanche plus modeste sur le taux de sucre dans le sang et sur le tour de taille.

"Les groupes de marche sont des méthodes efficaces et sûres, avec une bonne observance et un grand nombre de bénéfices en termes de santé", notent les auteurs.

Les volontaires ont été étudiés avant et après leur adhésion à un club de marche, et beaucoup d'entre eux avaient des problèmes de santé, tels que de l'obésité, du diabète, de l'arthrose, une dépression ou une maladie de Parkinson.

L'impact de la marche sur la santé n'a en revanche pas été comparé à celui procuré par d'autres sports.

Extrait du site LA PARISIENNE

Et si on a une ou deux très bonnes copines ça peut faire un club ! Docteur Bib

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21 novembre 2014 5 21 /11 /novembre /2014 08:18
Le 21 Novembre 2014, par
Chaque année, l'humanité doit investir l'équivalent du PIB de la Russie ou de l'Italie pour combattre un fléau : celui de l'obésité
2 000 milliards de dollars, c'est ce que coûte tous les ans les conséquences de l'obésité sur l'humanité, pour les soins divers et les investissements en tout genre nécessaires pour faire face à la chute de productivité liée à l'obésité.

Ce faisant, l'obésité fait partie du club très fermé des fléaux les plus coûtent pour l'humanité, d'après le décompte du cabinet McKinsey Global Institute. Les conséquences des conflits armées et ceux du tabagisme représentent 2 100 milliards de dollars à engloutir chaque année pour faire face aux nombreux problèmes que ces fléaux génèrent. Mais l'obésité, comme on le voit, n'est pas loin.

Et à très court terme, l'obésité pourrait même se placer en première position sur ce podium, puisque la population mondiale touchée par ces problèmes de surpoids est passée de 857 millions en 1980, à 2,1 milliards de personnes en 2013 — c'est l'équivalent du tiers des humains sur le globe.

Chaque pays investit des sommes folles pour combattre les effets négatifs de l'obésité. Il en va ainsi du Royaume-Uni, qui a dépensé 70 milliards de dollars l'an dernier, mais ce n'est rien comme les États-Unis qui ont dépensé 663 milliards de dollars pour faire face aux conséquences de l'obésité. Nul doute que cet argent serait mieux investi ailleurs.
Extrait du site JDE Journal De l'Economie
Il est certain que si l'on pouvait investir pour les millions de populations qui meurent de faim....
Docteur Bib
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18 juillet 2014 5 18 /07 /juillet /2014 08:34

Une étude récente affirme que le stress n'est pas une raison pour se faire plaisir avec un hamburger. En fait, consommer des aliments riches en matières grasses a tendance à conduire à une prise de poids en période de stress. - Valentyn Volkov/shutterstock.com

(Relaxnews) - Une nouvelle étude, publiée dans la revue scientifique Biological Psychiatry, conteste la croyance populaire selon laquelle le stress accélère le métabolisme et suggère que les accidents de parcours sont le moment où il est le plus important d'avoir une alimentation saine, pauvre en matières grasses.

Des chercheurs à l'université d'État de l'Ohio ont servi un repas de 930 calories contenant plus de 60 grammes de lipides à un groupe de participants, uniquement composé de femmes. Ils ont ensuite mesuré leur métabolisme et ont pris des mesures du taux de sucre dans le sang, des triglycérides, de l'insuline et du cortisol, l'hormone du stress.

Ils ont également posé des questions à ces 58 femmes, dont la moyenne d'âge était de 53 ans, concernant le stress ressenti la veille. Celles qui avaient fait l'expérience d'au moins un évènement stressant ont brûlé 104 calories de moins que celles qui n'en avaient pas fait l'expérience.

Selon les chercheurs, une telle différence dans le métabolisme pourrait contribuer à une prise de poids d'environ 5 kilos par an.

Un niveau d'insuline plus élevé est un autre indicateur d'une prise de poids chez les femmes stressées, car l'insuline contribue au stockage des graisses.

"Cela signifie que, au fil du temps, les facteurs de stress pourraient conduire à une prise de poids", a déclaré Jan Kiecolt-Glaser, professeur de psychiatrie et de psychologie à l'université d'État de l'Ohio, et auteur principal de cette étude. "Nous savons grâce à d'autres données que nous risquons davantage de manger les mauvais aliments quand nous sommes stressés, et nos données montrent que, quand nous mangeons les mauvais aliments, nous risquons davantage de prendre du poids parce que nous brûlons moins de calories."

Bien que beaucoup d'études aient déjà associé stress et surpoids, voire obésité, les auteurs affirment que leur étude donne une vraie explication.

Kiecolt-Glaser a fait remarquer que le plat à base d'une saucisse de dinde, d'oeufs, de biscuits et de sauce au jus de viande qu'il a demandé aux sujets d'ingérer en 20 minutes ou moins n'est pas très différent de ce que les gens ont tendance à consommer quand ils mangent sur le pouce.

Pour affiner davantage leur découverte, les chercheurs ont réparti les participants en deux groupes et ils ont donné à chaque groupe un plat riche en matières grasses différent.

Ils ont servi au premier groupe un plat qui contenait principalement des graisses saturées et ils ont servi au deuxième groupe un plat qui contenait de l'huile de tournesol riche en graisses monoinsaturées. Cependant, la variété des lipides n'a fait aucune différence.

"Nous pensions que les graisses saturées auraient un effet plus important sur le métabolisme des femmes, mais les deux plats riches en matières grasses ont montré les mêmes résultats en ce qui concerne la façon dont les facteurs de stress pouvaient affecter leur dépense d'énergie", déclare Martha Belury, professeur d'alimentation à l'université d'État de l'Ohio et co-auteur de l'étude.

Les chercheurs se sont aussi penchés sur la question de la dépression, et ils ont découvert que si un passé dépressif ne faisait pas de différence au niveau du métabolisme, l'association entre dépression et stress au travail ou au sein de la famille ralentissait fortement le métabolisme.

Les personnes faisant à la fois l'expérience de la dépression et du stress ont montré une forte augmentation de la teneur en matières grasses dans le sang, ce qui se mesure par la quantité de triglycérides présents.

Si les chercheurs ne sont pas prêts à appliquer leur découverte aux hommes à cause des différences au niveau du stockage des graisses et des hormones entre les deux sexes, ils espèrent tout de même que leurs recherches encourageront tout le monde à avoir de la nourriture saine à portée de main pendant les périodes de stress.

 

Extrait du site l'EchoRepublicain.fr

Quand on stresse, si on mange mal, on grossit.....et c'est encore plus de stress ! Docteur Bib

 

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12 juin 2014 4 12 /06 /juin /2014 14:51

 

Le Monde.fr avec AFP | 12.06.2014 à 13h57 • Mis à jour le 12.06.2014 à 14h53

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Si les Européens ne bougent pas assez, les Français ne se distinguent pas de cette tendance à la sédentarité. Malgré les mises en garde pour la santé, elle deviendrait même inquiétante chez les jeunes adultes, cernés par les écrans, selon une enquête de l'Institut de recherche biomédicale et d'épidémiologie du sport (Irmes) publiée jeudi.


 

« La sédentarité progresse en Europe et un peu plus vite en France (+ 3 % versus + 8 %) », selon le Pr Jean-François Toussaint, directeur de l'Irmes. Selon l'Eurobaromètre 2014 sport et activité physique, paru en mars et réalisé en 2013, le nombre d'Européens qui déclarent ne rien faire, ni activité physique ni sport, est en effet passé depuis 2009 de 39 à 42 %.

DIX MILLE PAS PAR JOUR 

Pour être en bonne santé, l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) préconise de faire plus de 10 000 pas par jour. Cet indicateur, reflet du mode de vie, plus ou moins sédentaire, est mesurable à l'aide d'un podomètre. Soixante-quinze pour cent des Français des 18-64 ans n'atteignent pas les ce chiffre, selon la 3e enquête réalisée avec l'Irmes pour l'association Assureurs prévention. Et ceux qui disent pratiquer régulièrement une activité physique ou sportive a régressé (– 5 %).

Répartition de la moyenne du nombre de pas par jour effectués par les 18-64 ans. | Irmes

Plus « inquiétant », constate le Pr Toussaint, « les 18-24 ans marchent significativement moins que les autres en moyenne » et parcourent environ 2 000 pas de moins qu'ils ne le devraient. « C'est dans ces tranches d'âge que l'on commence à voir de plus en plus une tendance à la sédentarité », note-t-il en évoquant « les effets liés à la pratique des jeux vidéo et plus encore à la pratique de la communication (via les smartphones, tablettes et PC...) sur cette détérioration ». « Accros » aux écrans, les 18-24 ans sont aussi les moins actifs, moins même que les 55-64 ans, selon l'enquête. A partir de quatre heures par jour, le temps passé devant les écrans réduit significativement l'activité physique des adolescents.

Lire aussi notre entretien, « Rester assis tue plus que le tabac » 

RETARDER LA DÉPENDANCE

Par ailleurs, l'entrée au lycée marque le décrochage de l'activité sportive et physique (de 61 % de pratiquants au collège à 56 % au lycée). Mais l'enquête de l'Irmes montre aussi l'impact de l'exemple parental : plus les parents sont actifs, plus leurs enfants le sont aussi et inversement.

Enfin, « pour les plus âgés, l'activité physique telle que la marche est un moyen important de retarder la dépendance, à côté du fait de conserver des relations sociales et de manger sainement », ajoute Nicolas Moreau président d'Assureurs prévention.

 

Aller hop ! Debout là dedans ! ON SE BOUGE !!!

Docteur Bib

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14 avril 2014 1 14 /04 /avril /2014 08:03

RelaxNews le vendredi 11 avril 2014 à 18:51:00

 

Extrait du site Santé-medecine.net 


Idéal pour perdre du poids et se muscler, l'exercice aérobie est aussi recommandé aux seniors. Deux séances par semaine pourraient prévenir les effets neurologiques liés à l'âge selon cette étude canadienne.

Il peut englober des activités comme la marche, la natation ou le jogging et mobilise en moyenne 70 à 80% de la capacité cardiaque maximale. L'exercice aérobie est un moyen de prévention efficace sur les effets neurologiques liés à l'âge selon les résultats de cette étude publiée dans le British Journal of Sports Medicine du 7 avril.
Une équipe canadienne s'est en effet intéressée à la question en travaillant sur l'hippocampe de 86 femmes âgées de 70 à 80 ans. C'est dans cette partie du cerveau que se concentrent les processus impliqués dans la mémoire verbale et l'apprentissage. C'est aussi dans cette zone, sensible aux dommages neurologiques, que se font sentir les premiers effets du vieillissement.
Pour les besoins de l'étude, les volontaires ont été réparties dans des groupes pratiquant différents types d'exercices dont l'aérobie (marche rapide), des exercices de résistance (poids) et des exercices de type équilibre et musculaire, à raison de deux séances d'une heure par semaine durant six mois.
Grâce à l'IRM, les chercheurs ont ensuite évalué la taille et le volume de l'hippocampe, ainsi que les fonctions cognitives de 29 participantes en début et en fin d'étude. Leurs conclusions indiquent que le volume total de l'hippocampe était nettement plus important chez les volontaires du groupe aérobie, à la différence des autres groupes.
L'exercice aérobie, que les auteurs recommandent aux personnes âgées, aiderait donc à prévenir le déclin cognitif dû à l'âge et à ralentir le processus de dégénérescence impliqué dans des troubles comme la démence.
Ils rappellent aussi qu'avec le vieillissement de la population, un nouveau cas de démence est diagnostiqué toutes les 4 secondes dans le monde.

 

Bon, je vais continuer à courir !

Docteur Bib

 

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24 janvier 2014 5 24 /01 /janvier /2014 14:30

On savait que les écrans envahissaient nos vies et celles de nos enfants mais une étude menée par le Syndicat français des aliments de l’enfance, révèle aujourd’hui que cette omniprésence des écrans aurait également des conséquences au niveau alimentaire. En effet, un enfant de moins de 3 ans sur trois mangerait devant un écran, une habitude qui aurait tendance à le faire manger plus.

Les conclusions de l’étude menée par le SFAE , qui regroupe notamment les grandes marques de l’alimentation pour bébés comme Nestlé ou Blédina, et dont les conclusions ont été publiées aujourd’hui révèle un nouvel aspect de l’omniprésence des écrans dans nos vies. L’étude montre que près d’un tiers des enfants de moins de trois ans mangent devant un écran, télévision, tablette, ordinateur…  et cela n’est pas sans conséquence sur  son alimentation.

L’enfant qui mange devant un écran aurait en effet tendance à consommer plus d’aliments. “Un enfant qui mange devant la télévision consomme en moyenne 20 % de ration calorique en plus. Il avale machinalement ce qu’il y a dans son assiette sans se rendre compte des quantités absorbées“, explique le Dr Bocquet, un des auteurs de l’étude.

Premiers repas complets deux fois plus tard qu’en 2005

Autre conséquence de cette attitude face aux écrans, les premiers repas complets sont introduits de plus en plus tard chez les jeunes enfants, sans biberon de lait. Ces derniers sont en effet débutés vers l’âge de 10 mois, soit deux mois plus tard qu’en 2005.  Même chose pour l’introduction des morceaux. Le risque est alors que l’enfant devienne plus difficile et refuse ensuite de diversifier  son alimentation.

 

20% de plus ! Cela donne à réfléchir ! Courage jeunes parents, donnez une vraie chance à vos petits

Docteur bib

 

Extrait du site ENVIRO 2B

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27 novembre 2013 3 27 /11 /novembre /2013 15:04
Selon une étude australienne, regarder sur un écran des personnes faire du sport accroît le rythme cardiaque. Mais, rien ne remplace une vraie activité physique.  

Cet article plaira sans doute aux aficionados de sport, mais devant la télévision ! En effet, selon une étude publiée ce dimanche dans la revue « Frontiers in Autonomic Neuroscience », regarder les autres faire du sport serait également une épreuve physique. Rythme cardiaque accéléré, respiration intense, circulation sanguine et transpiration accrues, sont autant d'effets que l'on ressent en regardant d'autres personnes faire du sport devant sa télévision, révèlent des chercheurs australiens.

Des réponses physiologiques comme lors d'une activité
« Nous savons que le système nerveux sympathique, responsable du rythme cardiaque, des glandes salivaires ou encore des vaisseaux sanguins, accroît son activité lors de l'activité physique. Nous avons montré que son activité augmente également lorsque vous regardez une scène d'activité physique, comme si vous courriez vous-même », indique dans ce journal le Pr Vaughan Macefield, de l'Ecole de médecine à l'université de Sydney ouest, principal auteur de l'étude.
Pour parvenir à cette conclusion, lui et son équipe de chercheurs ont insérés des aiguilles sur neuf volontaires afin d'enregistrer les signaux électriques nerveux, fournissant ainsi une mesure sensible des réponses physiologiques à un stress physique ou mental. 
Les scientifiques australiens ont d'abord montré les images d'un paysage immobile, puis une vidéo de 22 minutes d'un joggueur aux participants. « Les changements enregistrés étaient faibles, mais ils correspondaient aux réponses physiologiques connues lors de la pratique d'un exercice physique », a rajouté Rachael Brown, co-auteur de l'étude.
« Comme les volontaires étaient assis confortablement dans des fauteuils, sans aucune activité musculaire, cela montre que les réponses étaient psychogènes, d'origine mentale et non physique », précise-t-elle.

Le sport devant la télé réduit les performances sportives
Mais pour ceux qui pensaient avoir trouvé un argument pour éviter de faire du sport, cette recherche est un faux espoir. Le chercheur Vaughan Macefield souligne en effet que rien ne vaut la pratique d'un exercice physique. « Rien ne peut remplacer le fait de se lever de son canapé », reconnaît-il dans cette publication.
De plus, tous les chercheurs s'accordent aujourd'hui pour dire que la sédentarité accroît le risque d'obésité, mais pas seulement ! L'épidémie d'obésité qui sévit dans les sociétés occidentales depuis plusieurs décennies a une conséquence directe sur les performances sportives, notamment sur celle de nos jeunes.
D’après une étude australienne présentée récemment au congrès annuel de l’American Heart Association, l’endurance cardiovasculaire de nos petites têtes blondes aurait nettement chuté depuis une trentaine d’années. Un changement qui concernerait aussi bien les filles que les garçons, mais qui inquiète les experts à travers le monde. Cette étude révélait notamment que les enfants d’aujourd’hui mettent 90 secondes de plus à courir un 1600 m qu’il y a 30 ans. Leur endurance cardiovasculaire aurait, elle aussi chuté, notamment à cause du surpoids.  

Les experts rappellent l'importance d'une activité physique
« En fait, environ 30 % à 60 % des baisses de performance en course d'endurance peuvent être expliquées par l'augmentation de la masse grasse des enfants, expliquait le Dr Grant Tomkinson dans cette publication. C’est un problème dans la plupart des pays occidentaux, mais certaines parties de l’Asie, comme la Corée du Sud, la Chine continentale et Hong Kong voient également de plus en plus ce phénomène », rajoutait ce chercheur.
Et cet expert de conclure en rappelant que pour garantir leur bonne santé cardiovasculaire, « les enfants ont besoin de 60 minutes d'activité physique vigoureuse par jour. Les sports qui sollicitent les principaux muscles du corps et qui nécessitent une activité soutenue et dynamique, comme la course, la natation et le cyclisme, sont particulièrement conseillés. »

 

 

Trop fort notre cerveau !

La conclusion c'est que d'abord on pratique un exercice physique, un vrai, en salle ou en plein air et ensuite on rentre, on s'étire,on se prend une douche, on se met de la crème hydratante sur tout le corps et on allume la télé !

Docteur Bib

     


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12 juin 2013 3 12 /06 /juin /2013 08:24

Selon une étude OpinionWay, la plupart des Français feraient attention à leur poids mais sans pratiquer de sport. Ils ne seraient que 12 % à exercer une activité physique au moins deux heures par semaine.

Les Français seraient plutôt « dîner devant la télé » que « footing du soir ». C’est ce qui ressort d’une enquête OpinionWay*, réalisée pour Le Figaro-Weber Shandwick. Seuls 12 % des Français pratiqueraient un sport au moins deux heures par semaine. Ils sont pourtant 88 % à admettre qu’une activité sportive régulière leur permettrait de mieux contrôler leur poids.

Sport : les Français souhaitent davantage de communication

La plupart des personnes interrogées (70 %) assurent monter régulièrement sur la balance. Mais très peu reconnaissent faire plus de deux heures de sport par semaine. Parmi les raisons invoquées : les difficultés à concilier vie professionnelle et activité sportive, le mauvais état des infrastructures sportives, le manque de valorisation du sport à l’école.

 

Pour 8 sondés sur 10 (78 %), la création de lieux adaptés pour faire du sport avec des personnes touchées par le même problème serait une bonne initiative. Selon Le Figaro, des chercheurs américains ont démontré que des personnes atteintes de diabète parvenaient à mieux suivre leur traitement en fréquentant des endroits où elles avaient la possibilité de se retrouver entre elles.

72 % des personnes interrogées sont, par ailleurs, favorables à une communication plus importante autour du sport. Elles souhaiteraient, par exemple, obtenir des indications précises sur l’activité physique nécessaire pour prévenir les maladies liées à la sédentarité (quelle intensité ? Quelle fréquence ? etc.). Le remboursement du sport par la Sécurité sociale et les mutuelles fait également partie des idées plébiscitées (48 % des sondés).

 

Docteur Bib préfère parler d'exercice physique régulier plutôt que de sport. Le sport est réservé aux professionnels, et le sport, ça casse l'amateur car c'est trop brutal pour lui..

Par ailleurs, je rappelle que l'on peut marcher tous les jours. C'est économique, juste il faut prévoir un peu plus de temps dans sa journée.Et puis bien entendu, les escaliers sur la pointe des pieds, ça fait les mollets et sur les talons, ça fait les fesses ! Ne jamais oublier que les ESCALATORS ET LES ASCENCEURS, quand on n'a pas de problème physique, C'EST POUR LES BOEUFS !!!

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31 octobre 2012 3 31 /10 /octobre /2012 14:13
Le sport fait aussi du bien au cerveau0

 

Une étude canadienne menée auprès de personnes en surpoids, qui ont suivi un programme d’exercice physique pendant quatre mois, montre une amélioration des fonctions cognitives, peut-être liée à la meilleure oxygénation du cerveau.

par Jenny Wilson, avec Thierry Noisette

Une récente étude indique que le sport est à la fois la clé pour rester en forme et pour maintenir son esprit affûté. Des personnes d’âge moyen en surpoids ont participé à un entraînement par intervalles à haute intensité – du type que suivent les athlètes de compétition – pendant une période de quatre mois.

Le Dr Anil Nigam, de l’Institut de cardiologie (ICM) et de l’université de Montréal, en collaboration avec l’Institut universitaire de gériatrie de Montréal, a mené cette étude (PDF), dont les participants présentaient tous un surpoids ou de l’obésité ainsi qu’un ou plusieurs facteurs de risques de maladies cardiovasculaires. Leur IMC se situait entre 28 et 31.

Pendant l’étude, les participants ont alterné des courtes périodes d’exercice d’aérobie de faible intensité avec des périodes de haute activité: par exemple un sprint de 30 secondes était suivi d’une période de marche ou de jogging de 30 secondes, et ainsi de suite.

« Six adultes ont pris part à l’étude en s’entraînant pendant quatre mois à raison de deux séances hebdomadaires d’entraînement par intervalles sur vélo d’exercice et de deux autres séances hebdomadaires de musculation. L’analyse des fonctions cognitives, de la consommation maximale d’oxygène et de l’oxygénation du cerveau pendant l’exercice a révélé que les fonctions cognitives des participants s’étaient nettement améliorées grâce à l’entraînement », explique le Dr Nigam.

« Les participants se sont soumis à une batterie de tests cognitifs, biologiques et physiologiques avant de commencer le programme, afin de brosser le portait de leurs fonctions cognitives, de la constitution de leur corps, de la présence de facteurs de risque cardiovasculaires et de l’oxygénation de leur cerveau pendant l’exercice, ainsi que de leur capacité aérobie maximale. »

Les tests cognitifs portaient notamment sur la mémorisation de paires de chiffres et de symboles. Pour constater comment réagissait le cerveau, l’équipe du Dr Nigam a eu recours à la spectroscopie infrarouge proche, une technique permettant de diffuser de la lumière (de type infrarouge) dans les tissus humains afin qu’elle réagisse à l’oxygène contenu dans le sang (absorption de la lumière). Ce procédé est si précis qu’il détecte les minuscules changements de volume et d’oxygénation du sang dans le cerveau lorsqu’on fait de l’exercice ou réfléchit à un sujet donné, explique l’Institut de cardiologie.

À la fin du programme, outre la réduction du tour de taille, expose le Dr Nigam, « nous avons aussi constaté que la consommation maximale d’oxygène et la sensibilité à l’insuline avaient considérablement augmenté, tout comme les résultats aux tests cognitifs et les signaux d’oxygénation du cerveau pendant l’effort physique ».

L’étude est présentée à l’occasion du Congrès canadien sur la santé cardiovasculaire (CCSC), qui se tient jusqu’à aujourdhui, à Toronto. Elle a été publiée (PDF, bilingue français-anglais) dans les Annals of Physical and Rehabilitation Medicine (Guiraud T, et al. Non-pharmacological strategies in cardiovascular prevention: 2011 highlights. Ann Phys Rehabil Med (2012), doi:10.1016/j.rehab.2012.03.005).

 

Vous savez tout le bien que le docteur Bib pense de l'exercice physique. Attention, à trop haute dose pour des non entraînés, c'est dangereux. Régulièrement et tranquilou, c'est que du bon !

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28 juin 2012 4 28 /06 /juin /2012 10:29
Extrait du Site de ELLE
Par C.M. - Le 28/06/2012

 

 

Nombreux sont les français qui savent que le sport est bon  pour se raffermir et perdre quelques kilos. En revanche seules 28% des personnes  interrogées répondent que le sport est aussi bon pour la santé. C’est ce que  montre une enquête réalisée auprès de 8000 internautes, par CCM Benchmark pour  sante-medecine.net et le  JournaldesFemmes.com.
« Ce n’est pas assez. En effet, le sport ne sert pas  seulement à affiner la silhouette. Seulement 50% des personnes interrogées le  savent, mais il a aussi des effets bénéfiques sur la santé, et non des  moindres », déclare docteur Pierrick Hordé, médecin généraliste et allergologue,  à l’origine de cette étude.

Le sport sur ordonnance

Pratiquer une activité physique régulière pourrait aider à  réduire le risque de cancer du colon de 40 à 50%, et celui du cancer du sein de  15 à 20%. De plus, faire du sport diminuerait les chances de récidive pour les  personnes malades. « Le sport doit être considéré comme un médicament et une  thérapie. Les médecins doivent davantage y penser lors de leur consultation »,  avoue Pierrick Hordé. Or, seulement 17% des praticiens le prescrivent à leurs  patients…
Dans un second temps, une étude de 2011, pour le « Journal of  the American Medical Association », pratiquer 15 minutes de sports par jour  (natation, gym, course…) pourrait nous faire gagner 3 ans d’espérance de vie  mais aussi réduire le risque de dysfonctionnement érectile. En plus, les hommes  sportifs interrogés avouent ressentir plus de plaisir comparé aux autres…
Une autre bonne raison de se mettre au sport !

Docteur Bib qui se demande si les femmes aussi ressentent plus de plaisir !!
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